[ Rp fermé ] Préparation d'une vengeance.

( Personne ne doit rentrer dans le rp ou flooder, merci =) )

Elle mourra... elle paiera... je lui ferais regretter ses actions...

Arranon s'éloignait de la taverne d'Ancia, se tenant le ventre pour assurer la durabilité de la glace qui empêchait son sang de couler.

Elle a donné nos enfants après m'avoir promis d'en prendre soin... elle ne mérite pas de vivre... je lui ferait connaitre la douleurs et l'agonie.
Pendant qu'il se déplaçait, tout n'était que haine dans sa tête... il voulait se venger, lui faire regretter...

Et Albertan qui s'en mêle.. ça ne le concerne pas... qu'il s'occupe de sa fille et de sa fe... mmh...

Il fit apparaître une porte de la mort afin de retourner en achérus pour y recevoir des soins puis continua dans ses idées de vengeance.

Ils me prennent pour un idiot... et bien je vais leurs montrer à quel point un idiot peu être dangereux...

Il regarda les goules et autres horreur se déplacer autour de lui, les idées fulminaient dans sa tête.

C'est Albertan qui protège Ancia.. je dois donc avant tout atteindre Albertan... qu'importe la manière.

Une fois les soins donné, il repris forme humaine, s'appropria une quantité importante de poussière d'os et des morceaux de chair par si par la avant d'allez voir un nécromancien qu'il connait depuis un certain temps.

"J'ai besoin de cinq- six Gheist... il faut que je trouve quelques choses... j'ai de quoi les fabriquer, je peu compter sur toi ?"

Nécromancien:"Ca fait longtemps que je n'ai rien fait pour toi Arranon... viens les chercher demain.. ils seront prêt.

"Mmh..."

Sur ces paroles Arranon tourna les talons afin de se préparer à la chasse...

Ils me sous estiment... Ils verront ce qu'il en coûte.

[ Rp fermé ] Préparation d'une vengeance. 219845worgendarkknightbyvahamahad4oy1y5

[ Rp fermé ] Préparation d'une vengeance. 219845worgendarkknightbyvahamahad4oy1y5

"Feralas, six mois après le départ"

Bruissement de l'air dans les feuilles des arbres, la bête hume l'air doucement, la forêt parle, elle est calme.
Soudainement un sifflement glacial d'une flèche déchire l'atmosphère, vient transpercer la carotide du monstre, laissant échapper un hurlement guttural bestial.
La bête essaya de prendre la fuite, le sang moussant à ses babines alors que ses yeux apeurés sortaient de ses orbites, elle fuyait mais la vie lui échappait inexorablement.
La cycle de la vie, être le chasseur mais devenir proie, s'était le destin de chacun, s'était son destin, sa vie s’achevait pour en nourrir une autre.

Le prédateur s'approcha de sa proie à pas de loup, tous les sens aux aguets, restant le plus possible accroupi alors qu'elle flairait la moindre odeur étrangère.
L'arc à la main, elle l'observait agonir de ses yeux flamboyants. Puis rangeant son arc en bandoulière, elle s'empara de sa dague, posa sa main sur le poil hirsute de l'animal allongé à ses pieds.
Son souffle était rapide, son cœur affolé et puis la lame s'enfonçant d'un coup dans la chair de l'ours... la mort.

La chasseresse se tenait devant son repas, sous sa forme bestiale. De ses griffes, elle dépeça l'ours dont sa viande juteuse finira dans son estomac et celui de son félin, et dont sa fourrure servira comme leurre.
La worgen n'était plus celle connue, la worgen était là, elle avait un objectif, devenir forte mais... pour cela il fallait oublier, ne plus être ce qu'elle était. Seulement être ce qu'elle doit être, une bête.

Six mois... au début s'était dure, très dure, penser à ses amis, sa famille... prendre des nouvelles puis petit à petit les nouvelles se font rares... Alors on oublie petit peu par petit peu, sans vraiment oublier car au font l'instinct maternel est toujours présent.
Seulement, trois mois sans réponse, sans nouvelle, alors on oublie, étant complètement obnubilé par son objectif, devenir forte.
Alors en six mois, cette louve avait reprit peu à peu son aspect sauvage, vivant en meute avec ses félins et voyageant dans tous Kalimdor voire ailleurs. Elle voulait aller plus loin mais cela impliquerait de prendre des moyens plus civilisé pour l'atteindre, ce qu'elle ne voulait pas... pas tous de suite.
Alors son campement se trouvait dans Féralas, un peu au sud ouest des plateaux sauvages, là où elle venait de tuer de sang froid un ours.

[ Rp fermé ] Préparation d'une vengeance. 891242worgenhunterfinalviewbyvilot11d3cj9kd2

Le lendemain, Arranon vint assister à la création du dernier Gheist, les cinq autres corps inanimé était sur des tables en bois maculé de sang et de pourriture juste à côté; le nécromancien pris la poussière d'os et commença à former le squelette à l'aide de la magie nécrotique, puis, il prit les morceaux de chair et les plaqua contre la chose pour les coudre entre eux, faisant toutefois pourrir la chair des articulations afin qu'elle ne bloque pas les mouvements, enfin, il regarda autour de lui, semblant chercher quelque chose sur ses étagères contenant une grande quantité de bocal ayant à l'intérieur divers membres... mains, doigt, oeil de toute sortes, tripe, coeur... et même des morceaux de mâchoire. Il prit un bocal contenant un oeil jaune et assez gros pour ensuite l'enfoncer brutalement dans le crâne de la bête, le sang giclait de la chair tandis que la magie du nécromancien faisait rentrer l'oeil dans le crâne. Enfin, un à un, le nécromancien les recouvra intégralement d'un tissu à moitié pourri qu'il cousu au corps.

Nécromancien: "Il ne me reste plus qu'à les ramener à la vie et tu pourras en faire ce que tu veux."

Le nécromant se concentra, faisant apparaître une magie impie incroyablement supérieur à celle qu'Arranon peu plus ou moins maîtriser, puis, les corps des gheist commencèrent à avoir des spasme, des sursaut étrange qui pourrait faire croire qu'ils sont totalement désarticulé, en suivi des cri et des grognements ridicule aux oreilles d'un worgen mais qui restait tout de même peu rassurant, enfin, les six créatures vinrent s'aligner devant Arranon.

Nécromancien: "Et voilà... livraison terminée... quel ordres veux tu donner à ces magnifiques bêtes ?"

"On ne dois pas avoir la même notion du mot "magnifique"... Je veut qu'ils traquent une personne en particulier... sans se faire repérer si possible, et sans la toucher non plus, juste venir me prévenir une fois qu'elle est retrouvée."

Nécromancien: "Bien... décrit moi cette personne et ils partiront aussitôt que je leurs en aurait donné l'ordre."

Arranon décrit donc Alaera au nécromancien, précisant que cela faisait plusieurs mois qu'elle vivait seul on ne sais où dans Azeroth, le nécromancien donna ensuite les instructions à suivre aux Gheist, l'un d'eux poussa un sons du genre... "ggrlgrlglrgllgrrrrlglr !!" Puis tous partir en bondissant de tout les côté à la recherche de la worgen.
Sans même attendre quoique ce soit du nécromant, Arranon pris quelques objet par si par la, revêtit une armure plus adapté à la traque qu'un kilt, puis, il descendit du fort d'Achérus, invoqua son cheval et partit à son tour.

"La chasse est ouverte."

"Quelques jours plus tard, toujours en Féralas"

Tuer pour survivre, pour ce nourrir, s'était la loi de la nature. Alaera la pratiquait depuis qu'elle était partie.
Toujours aux aguets, car à n'importe qu'elle moment elle pourrait devenir la proie, la roue tournait pour chacun.
Peut-être que sa quête la mènera à sa fin, ça lui arrivait d'y penser, c'est pour cela qu'elle faisait tous pour survivre.

Aujourd'hui, elle leva le camp, ne jamais rester longtemps au même endroit, ce qui augmentait les chances de survie.
Elle endossa la peau séché de l'ours puis détruit son camp de fortune avant de partir en direction des milles pointes.
Shina n'était jamais à coté d'elle mais ne restait jamais loin, tel un éclaireur lorsqu'elles voyageaient.
Mais elle était toujours prête à intervenir en cas de problème. et les problèmes bizarrement n'était pas loin...

Alors que la louve longeait la montagne, une odeur de pourriture se fit sentir...
Plus un geste, la worgen éveilla tous ses sens, écoutant le moindre bruit suspect, et essayant de localiser cette odeur.
Elle avait déjà sentit ça, elle reconnaitrait ces immondes bêtes à milles lieux d'ici.
Ça sentait la mort, elle n'avait pas encore identifié la chose mais elle savait qu'elle avait à faire à une goule ou autres immondes abjectes mort-vivant.
Alors que Féralas était la "terre des ogres" ça l'étonnait franchement de trouver ce genre de bestiole putride ici.

Faisant mine de rien, la bête continua a avancer, elle sentait toujours cette odeur dégoutante, bien qu'elle fut moindre, elle avait apprit à développer son odorat, disons alors que sa empeste son museau!
Tout en marchant, elle écoutait, elle regardait autour d'elle, ses yeux observèrent la moindre chose suspect aux alentours. Shina avait aussi sentit l’intrus.
Bizarrement, cette chose la suivait, il ne l'attaquait pas... Pourquoi?
Ayant franchement marre de cette odeur qui ne la lâchait pas, elle profita que le chemin devenait escarper pour se cacher dans les fourrés.
Tout en silence, elle observait, elle humait l'air puis enfin, elle le localisa. D'un sourire vainqueur ses crocs acérés apparurent alors que ses yeux flamboyèrent de colère sous sa capuche.
Ce n'était pas une goule mais un Gheist, d'habitude ce truc se baladait en groupe... Pourquoi était-il seul? Non il y en avait sans doute d'autre mais où?
Pas le temps de réfléchir, Alaera traversa les buissons à pas de loup, sortie son arc puis visa la bestiole qui avançait comme si elle la cherchait.
Il la cherchait? Il l'a trouvé! Un sifflement déchira l'air en direction du Gheist, allait-il l'éviter?

La flèche se planta dans le sol d'un coup alors que la chose évita d'un seul saut ce qui aurait put être son dernier salue.
La bestiole avait fait un bond dans l'arbre avec un grognement. Sans attendre, Alaera banda une seconde flèche et tira jusqu'à que ce dernier disparaisse dans la nature.
En flexion sur ses genoux, arc bandé et flèche prête à être décoché, la louve observa en silence tout autour d'elle et surtout vers la cime des arbres.
Un feulement se fit entendre sur sa droite, Shina qui lui faisait comprendre que le geist était parti. La louve resta malgré tous aux aguets, huma l'air qui devenait peu à peu respirable.

Relevant sa garde, une question se posa: Pourquoi? Pourquoi ne pas l'avoir attaqué? Pourquoi a-t-il fuit? Ce n'est pas le genre de ces créatures. Elle ne comprenait pas...
Rangeant son arc et ses flèches, elle reprit la route toujours avec ses interrogations en tête, très franchement s'était la première fois que ça lui arrivait en dix-neuf ans d'existence.

La semi-sauvage reprit alors la route, il fallait qu'elle atteigne Théramore pour prendre le bateau en direction du Port de Menethil.

(Juste parce que j'en ai marre d'attendre une réponse qui viendra jamais, tant pis pour toi Arranon. Va falloir faire preuve de persuasion si tu veux réussir à avoir de l'aide de ma sauvageonne maintenant^^)

"Un retour prématuré"

Ses pas la menèrent au port de Menethil, la traversé en bateau fut calme, tous était calme.
Lorsqu'elle posa pied à terre, la louve huma l'air puis se dirigea vers l'auberge.
Elle n’ôtait plus sa capuche, elle restait froide envers quiconque, s'était devenu une personne à qui il ne fallait pas chercher des problèmes.
La louve qui était proie, devint aujourd'hui "Prédateur", aucune once de pitié dans ses yeux brillants.
Lorsqu'elle passait devant un chat, un chien ou même un cheval, ce dernier était agité, presque effrayé de peur de se faire manger.
C'est en outre l'impression qu'elle donnait de l'extérieur...

Pénétrant dans l'auberge, la bête s'avança vers le tenancier. Ce dernier posa vite le verre qu'il nettoyait et déglutit difficilement à son approche, mettant une main sous le comptoir pour sortir son fusil en cas de besoin.
De toute sa hauteur, Alaera fixa le pauvre homme qui ne la reconnaissait pas du tous. En même temps, s'était la première fois qu'elle venait dans sa forme animal.
Elle tendit sa main griffue devant lui puis prononça ces quelques mots sur un ton d’indifférence:

Mon courrier, s'il vous plait.

L'aubergiste eut un petit sursaut et se mit à réfléchir en vitesse.

Votre courrier? Quel courrier? Et vous êtes qui d'abord?

La patience.... malheureusement la louve n'y était pas d'ôté. Un grondement se fit entendre du fond de sa gorge puis sa main s'écrasa sur le comptoir en bois qui se fissura légèrement sous l'impact.
Si le tavernier n'avait pas un peu de courage, il se serait pisser dessus. Néanmoins il garda son calme, même si ses yeux reflétaient légèrement la peur.
Cependant, la bête l'attrapa par le col de sa chemise et l'attira à elle en le soulevant. Il n'eut pas le temps de prendre son arme qu'il se retrouva à quelques centimètres de ses crocs acérés.

Alaera! Tu entends! Maintenant donne moi cette lettre!

Oui... oui... d'accord tous ce que v-voudrez... Lâchez-moi maintenant...

La louve le remit sur ses pieds, prit la lettre de sa raison de vivre puis déposa une pièce d'argent sur le comptoir avant d'aller s'assoir à une table en silence pour lire ce qu'il y avait d'écrit sur le parchemin.
Un léger grognement pendant la lecture de sa lettre puis elle releva son museau.

Quand est-ce que ce courrier a été déposé ici?

L'homme sursauta à nouveau en entendant sa voix et répondit rapidement:

Oula... Il y a longtemps... hum... à peu près deux mois... voire plus.

Alaera resta un instant songeuse en entendant la réponse du vieil homme. Puis elle s'appropria un nécessaire à écrire et un papier pour y noter une réponse à son courrier.
Une fois fait, elle paya un coursier pour que la lettre arrive bien à destination et ce le plus rapidement possible. Enfin, elle reprit la route, longeant les chemins des marais des Paluns.

A un croisement, elle s'arrêta. Si elle continuait tous droit les terres hivernales des nains l'attendaient. Mais si elle tournait à gauche, s'était Gilnéas qui l'accueillerait.
Elle était si proche de lui tout en étant loin. A vol d'oiseau elle y serait en quelques minutes. Que devait-elle faire?
La louve leva les yeux vers le Nord, puis ils tombèrent sur Shina qui marchait tranquillement dans cette direction.
Un soupir s'échappa puis la bête la suivit docilement.

Les Paluns, les Hautes Terres d'Arathies, les Contrefords de Hautebrande, la forêt des Pins Argentés et enfin... Le mur de Grisetête avec derrière Gilnéas.
Tous ça traversé en un peu plus d'une semaine. Plus elle s'approchait et plus l'angoisse la tenaillait. Et si il ne voulait plus d'elle? Et si il en avait trouvé une autre? Et si tous simplement il l'avait oublié?

Avec beaucoup de courage, la louve pénétra sur le sol Gilnéen et marcha sans s'arrêter jusque Quilleport.
Elle n'osa pas aller frapper à la porte de la maison, toujours cette petite angoisse. Alors, elle grimpa les falaises derrière leur demeure puis l'observa un moment.
Allait-elle faire le premier pas? Ou préférait-elle se cacher et attendre?

Soudain, un bruissement d'aile sur sa droite, puis une voix familière qui se demanda à voix haute s'il n'avait pas la berlue. Ce fut alors la nuit des retrouvailles.
Le lendemain, alors que la maison était encore calme, que ses deux anges dormaient encore, la louve sortie en silence.

Prendre l'air et réfléchir...

» Preparation a la defense